Agressé devant la Gendarmerie Front de terre: Clédor Sène relate les faits et accuse l’Etat d’être…

Ce samedi, Clédor Sène a été agressé devant la gendarmerie Front de terre en présence d’un gendarme en faction. Ses voleurs à bord d’un scooter lui ont arraché son téléphone portable avant de déraper et de tomber après quelques mètres pour se relever et disparaitre. Mais pour Clédor, il ne s’agit ni plus ni moins que de l’Etat du Sénégal qui pourchasse ses données personnelles.

Victime d’une agression pas comme les autres, Clédor Sène raconte les faits à nos confrères de Sénégal7,le film de l’agression dont il a fait l’objet, ce samedi face à la gendarmerie Front de terre.

»J’étais à l’arrêt de car faisant face à la Gendarmerie du Front de terre. Il y avait deux dames et un jeune homme. Il n’y avait aucune ambiance d’insécurité. Il y avait aussi un scooter stationné pendant 10 munites à bord duquel était deux hommes. Moi, j’étais au téléphone. Il y avait aussi un gendarme en faction à l’entrée de la gendarmerie. Quelques munites après, le scooter a fait demi-tour et l’un de ses occupants a arraché violemment mon téléphone-portable. Mon premier réflexe était de crier au voleur et de les poursuivre. Le scooter est tombé à quelque mètres, alors que je fonçais sur eux, un autre véhicule a failli me renverser. Je me suis arrêté et le scooter et ses occupants ont pu m’échapper devant le gendarme en faction ».

Pour Clédor Sène, ces voleurs avaient besoin des données de son téléphone-portable car c’était un vol spécial. Il en déduit qu’il s’agit de l’Etat du Sénégal. Pour étayer son propos, le leader de « Clair Vision » se met à éplucher les multiples intimidations et les menaces dont il a fait l’objet de la part de la toute puissance publique. Il explique qu’en 2017,il a été arrêté très tôt chez lui et être inculpé d’attentat et de terrorisme. Et là, il indexe un inspecteur des renseignements généraux et un député de l’assemblée nationale répondant sous le nom de Diakhaté.

Une seconde fois, il indique que onze élément des forces de sécurité munis de gilets pare-balles l’ont trouvé chez lui à Yen pour l’arrêter. Il a cité l’adjudant Sagna de la Dic. séance tenante, Clédor a dit niet et a contacté des journalistes. Au final, les onze éléments sont repartis sans jamais revenir. Il explique que c’est après qu’il a eu vent des accusations qu’on voulait lui faire porter.

Et il en déduit qu’il est en train d’abattre un travail extraordinaire qu’il a l’intention de partager avec les Sénégalais dans quelque temps. Jurant n’avoir peur de rien,il indique qu’il est prêt à tout même si ces contempteurs aussi sont prêts à tout contre sa personne.

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