Dialogue national, de grâce mettez le peuple au cœur (Par Diaw Fara)

Il faut saluer déjà la reprise des pourparlers après moultes tractations, et se féliciter du courage du Président, Macky Sall d’engager un dialogue avec les forces vives de la nation.
On se dirige vers la fin de l’année et on est tous plus ou moins frappé par la conjoncture du sénégalais Lamdba, entre hausse du courant, de l’eau et d’autres denrées, l’heure de l’apaisement est sûrement enclenchée. Ne soyons pas naïf mais aussi ni nihiliste au point de ne pas de croire des bonnes intentions de ce dialogue, en tant qu’acteur politique je m’en réjoui mais néanmoins en bon intellect j’emets quelques réserves. On sors d’une année très politique et à mon humble avis si ce dialogue met les problèmes des sénégalais au coeur alors oui on peut rêver tous ensemble même si la confiance n’exclut pas le contrôle. Ceci n’est pas un pourparlers uniquement entre politiques mais le Président de la République marque son envie de discuter avec tout le monde sur les vraies questions de société et si l’on est tous sincères alors le Sénégal en ressortira grandi et apaisé. Les questions telles l’électricité, l’eau et les hydrocarbures restent les plus palpables et Monsieur le Président, le peuple, le votre toutes obédiences politiques confondues attend de vous des solutions et des réponses adéquates afin que le climat social puisse être bon à respirer.
Il faut dialoguer oui mais pas pour la forme, l’urgence est aujourd’hui de donner aux sénégalais de quoi se mettre sous la dent, de les rassurer face à l’insécurité galopante et d’être le père de la nation face à cette instabilité sociale qui nous fouette en plein coeur. Le dialogue se doit d’être dirigé vers une objectivité dans l’unique but du bien être des citoyens. Alors mes chers pas de long discours mais juste une motion de soutien mais qui inclut un contrôle si possible car au final c’est du Sénégal dont il s’agît, encourager les différents acteurs présents aussi et leur demander de mettre à côté les égos, les divergences politiques pour que la lanterne du pauvre Badola puisse à jamais être éclairer au sortir de ce dialogue national.

ADAMA Diaw Dit Diaw Fara
RESPONSABLE APR A GNITH.

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