Keur Massar: Le taxi-man, Pape Mbaye Cissé arrêté

Pape Mbaye Cissé, croupit depuis lundi dernier, dans le violon de la brigade de gendarmerie de Keur Massar. Auteur de plusieurs viols, pour la plupart nuitamment sur des clientes , dont une veille dame et une étudiante, ce taximan , marié et père de 4 enfants, devrait être présenté demain, devant le procureur de la république.

Pape Mbaye Cissé à l’état civil, passe aux yeux des siens comme un père de famille responsable .Une façade reluisante qui cache sa personnalité sournoise et vicieuse, en attestant son modus opérandi qui lui a permis d’abuser de toutes ses victimes. Sa cible de prédilection, un dame solitaire qui demande ses services . Il accepte sans marchandage, le prix proposé par la cliente.. En cours de route, Cissé empruntes des raccourcis pour se diriger vers la forêt de Mbao. Là, seul en compagnie de sa cliente, il profite de la pénombre pour immobiliser son taxi. Puis, il tient en respect sa victime à l’aide d’un long couteau et la contraint à un rapport sexuel. Son forfait accompli, il abandonne sa victime après l’avoir dépouillée de ses biens.

Fort de ce mode opératoire, Pape .Mb.Cissé. est parvenu à violer plusieurs femmes, dont la première est une veille dame en mai 2018. Boosté par ses multiples prouesse délictuelles, le vicieux taximan a continué à commettre ses forfaits, malgré une montagne de plaintes déposées au commissariat de Keur Massar . Poursuivant sa veule razzia, le taximan s’est à nouveau illustré le 14 janvier dernier. Sa victime est une étudiante. Après l’avoir violée à souhait , il la dépouille de ses deux téléphones portables et d’une paire de chaussures. Comme ses prédécesseurs, l’étudiante va porter plainte à la brigade de Keur Massar.

Le premier février denier , elle aperçoit dans la circulation , le taxi de son violeur. Elle s’empresse de prendre langue avec le nouveau patron de cette brigade. Articulant ses récriminations, l’étudiante livre des détails précis se trouvant l’intérieur du taxie. Fort de ces données circonstanciées, le commandant met en branle ses éléments aux fins de localiser ledit taxi et d’appréhendait son conducteur. La 4 février suivant, les enquêteurs mettent le grappin sur leur homme qui est conduit, avec son taxi de marque “Laguna”, de couleur verte, à la brigade pour nécessité d’enquête. Entendus, le présumé violeur s’illustre par des dénégations systématiques. Confrontés aux éléments de preuves, il a fini par battre sa coulpe, s’empressant de reconnaître juste deux viols. Placé en garde à vue, il devrait être déféré vendredi prochain, au parquet.

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