Le marabout se tape la soeur de sa femme et l’*ngr0sse

Une histoire de mœurs a encore pollué hier la chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Pikine. En effet, le marabout Babacar Koné, mari de la dame Yandé Mbaye, est accusé d’avoir entretenu des relations s*xuelles avec sa belle-soeur mineure du nom de S. Mbaye. Le délibéré est fixé au 06 juillet prochain.

Yandé Mbaye ne savait pas qu’en acceptant que sa soeur, S. Mbaye vienne passer les vacances scolaires chez elle, cette dernière deviendrait le jouet s*xuel de son propre mari. La pauvre dame n’a découvert l’@dultère que commettait son marabout de mari sur sa propre sœur que lorsque cette dernière, après une visite médicale prénatale, s’est entendu dire par la sage-femme qu’elle traînait une gr0ssesse de six mois.

En pleurs, S.Mbaye a expliqué les circonstances de son vi0l et de ses relations s*xuelles avec son beau-frère. « On a eu trois rapports s*xuels. Les trois ont eu lieu à des heures creuses de la journée où Babacar Konté n’avait pas de clients venus le consulter pour de la voyance, et aussi en l’absence de ma soeur, partie au marché » a raconté la mineure.

Sur les circonstance de ces galipettes, elle prétend que son charlatan de beau-frère lui a proposé de lui faire une séance de prières pour augmenter ses chances de réussite dans la vie. C’est au cours de cette séance faite dans la chambre « de consultance » de son beau-frère que ce dernier lui a fait l’@mour pour la première fois durant les fêtes de noël.

Un rapport  catalyseur du processus d’ouverture de sa chance

Comme explication donnée à ce jeu de jambes en l’air, le marabout Babacar Konté lui dira que cet acte s*xuel servira de catalyseur du processus d’ouverture de sa chance. Le plaisir aidant, ils ont remis cela deux autres fois. Soit trois relations s*xuelles en tout. Ce qui devait arriver est alors arrivé : S.Mbaye est tombée *nceinte.

Cependant à la barre du tribunal, Babacar Konte a nié les faits de vi0l qui lui sont reprochés. a l’en croire, tout ceci n’est que machination pour le pousser à divorcer d’avec sa femme, Yande Mbaye. Cette dernière, qui s’accroche à ce troisième mariage, jure sur tous les saints que sa mère est à l’origine de ses précédents divorces. Mais que,cette fois-ci, nul ne détruira son ménage.

S. Mbaye une petite de 15 ans

Le procureur, qui ne semble pas convaincu des déclarations de la partie civile, a requis l’application de la loi. La défense assurée par Me Serigne Diongue a rappelé que le vi0l suppose l’existence de menace, contrainte ou surprise. « Nous avons écouté les débats et nulle part on n’a entendu la caractérisation de ces éléments(…) elle dit qu’elle a entretenu à trois reprises des rapports s*xuels avec le prévenu pour une fille de 15 ans. A supposer que de tels r*pports existent on ne saurait les caractériser de vi0l du fait de la récurrence comme l’atteste la jurisprudence. Cela est contesté par le prévenu qui n’a jamais varié dans ses déclaration» a plaidé l’avocat.

S’agissant du délit de charlatanisme, Me Serigne Diongue a fait valoir que son client reconnait qu’il exerce le métier de marabout mais il n’a pas été démontré qu’il aurait donné des bains mystiques à la plaignante. il a sollicité la relaxe pour ce délit ainsi que celui de pédophilie. Le tribunal a décidé de mettre l’affaire en délibéré pour le 06 juillet prochain.

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