Mame Khar : « Sama Dieukeur dafa yome mounaluma dara ba parai moubolé ak ben kharitam pour moumay teudé baniu ame niary dome»

Terribles confidences d’une dame, sous le sceau de l’anonymat. Mame Khar (appelons-là ainsi) a câblé samedi tard dans la soirée l’animateur d’IGFM Mamadou Ndoye Bane. Qui animait son émission « thème de la semaine ».
Expliquant les raisons qui l’ont conduit à commettre l’adultère, Mame Khar dira qu’elle a épousé un homme « merveilleux », l’homme qu’elle a aimé pour choisir de cheminer avec lui. Un mariage en grande pompe a officialisé leur auréole. Et, paf! Quelques jours après leur mariage suivie d’une inoubliable lune de miel, Monsieur, « pourtant un étalon », tombe en panne. Ca fait bizarre, mais ça arrive!
Sans détour ni faux-semblants, Mame Khar confie les dessous de son intimité au côté d’un homme impuissant.
Elle révélera (la voix changée bien évidemment par la RFM) que malgré toutes ses astuces bien féminines qui feront bander plus d’un, le « bijou » de Monsieur affiche une indifférence atone. Le désir de Mame Khar n’embrase plus celui de son mari.
Nonobstant sa défaillante érectibilité, Mame Khar préfère rester dans son foyer. Elle veut rassurer de son amour et de sa bonne foi à son mari. Mame Khar souffre en silence. Sa belle assurance féminine se fissure, des peurs, notamment du « qu’en-diras-t’on » se raniment.
Elle se remémore sans cesse d’intenses moments vécus avec son homme.
Son trouble semble rivaliser avec le plaisir naguère partagé ; cette complicité charnelle qui la faisait sentir vivante bien au-delà de la jouissance.
A l’en croire, son homme l’a piégé avec son ami et confident. Et, comment? « Il arrivait qu’il voyage des jours durant et son ami profitait de son absence pour fréquenter des heures durant ma maison, je dirais ma chambre à coucher. Ce qui devait arriver arriva. En me consolant au jour le jour, j’ai fini par céder à ses attraits » confie la dame. Qui a eu deux enfants avec l’ami à son mari.
Mame Khar se dit persuadée que c’est son mari qui l’a indirectement mais subtilement poussé vers son ami avec lequel il gère ses affaires. Et, comment? « Il faisait semblant, réplique t’elle, de voyager et d’y durer. C’est une manière de laisser le champ libre à son ami » . Qui a donc labourer avant d’en récolter deux bouts de bois de Dieu.

A qui la faute?

dakarposte

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