mon psychologue qui devait me remonter le moral me suppliait de le …

Je me suis longtemps reservée avant de me confier à quelqu’un et de partager mon histoire avec vous. 

Quand vous êtes dans un état vulnérable, méfiez-vous de celui en qui vous-vous confiez. Je venais d’une déception am0ureuse. Et j’avais besoin d’un psychologue pour me remonter le moral. J’ai pu avoir un qui me semblait très professionnel dans son métier. Mais hélas, à la fin, j’ai fini dans le lit de ce dernier. Et plus déçue qu’avant.

Je cherchais un psyhologue qui pouvait m’aider Jeune ivoirienne de 22 ans. Je sortais d’une grande déception am0ureuse qui a failli me conduire au suicide. Pour oublier mes peines et surtout retrouver le moral pour le reste de la vie, je cherchais un psyhologue qui pouvait m’aider en la matière. C’est ainsi que je suis tombée sur Etienne. Un jeune spsychologue exerçant dans un cabinet de la place situé à Cocody.

J’ai eu son contact par le biais d’une amie qui a été sa patiente. Quand je l’ai appelé, il m’a donné un rendez-vous au cabinet. Il m’a réçue à son bureau et nous avons échangé sur mon état. J’ai été frappée par sa façon de me parler qui me rassurait déjà et me donnait de la confiance en moi. Avant de partir, je lui ai laissé mon numéro, et il a promis me rappeler pour une rencontre en déhors du service. Ce que j’ai accepté.

Quelques semaines plus tard, il m’a invitée chez lui. Quand je suis arrivée à son appartement situé au 2ème étage d’un immeuble, j’ai été agréablement surprise de l’accueil. C’était comme si, Etienne et moi étions des amis depuis de longue date. Or cela ne faisait que deux semaines que j’ai fait sa connaissance. Nous étions deux dans la maison et j’étais bien installée dans le salon qui respirait une grande clarté et qui me donnait envie de dormir. Etienne est venu ensuite s’assoir juste à côté de moi et nous avons commencé à bavarder de rien et de tout. Il me demandait de lui parler de ce qui s’était passé, mais j’avais toujours du mal à revenir sur ses choses qui empoissonnaient ma vie. Il me faisait sortir en boite, à la plage, à des soirées pour que je puisse me relasser. Et c’était ça notre passe-temps quand il avait un bout de temps.

Son geste qu’il fera, c’est de se jeter… Un jour que j’étais chez lui , il m’a invitée à faire la cuisine. Assis au salon, je savais qu’il me dévorait des yeux, mais moi j’accordais peu d’importance à cela. Il venait quelque temps dans la cuisine pour me demander si j’avais besoin de quelque chose et il me la donnait pour continuer ma cuisine et lui retournait au salon. A 12heures 30, nous sommes passés à table. Après le déjeuner, nous avons regardé un film au salon quand je me suis endormie. Sans faire sciemment, le pagne que j’avais sur moi avait été déplacé par ma main et avait mis mes cuisses à portée de vue. Lui étant toujours en train de suivre le film, il pu s’empêcher de détourner son regard vers moi. Quand je me suis reveillée en sursaut, j’ai su que mon pagne était mal mis. Je me suis donc arrangée. Le sommeil était parti. J’ai su que j’avais créé quelque chose en mon psychologue qui n’arrêtait pas de me regarder sans broncher. Son geste qu’il fera, c’est de se jeter sur moi et commencer à m’embrac er. J’ai voulu le repouser, mais j’ai senti une forte sensation qui m’a laissée sans défense.

il me suppliait de le laisser me pénétrer… Du salon, nous nous retrouvons dans la cuisine, de la cuisine dans la chambre. C’était incroyable. Je me suis jamais sentie aussi bien dans les bras d’un homme. J’hésitais au départ, mais pour ne pas le frustrer, je jouais le jeu. Ses caresses devenaient encore plus fortes. Et, là je ne pouvais plus résister. Il me disait à l’oreille qu’il a follement envie de faire l*am0ur. J’avais peur de m’offrir à lui à cause du passé douloureux. Pendant ce temps, c’étaient mes qui subissaient sa fougue. Il mourrait tellement d’envie, qu’il était impatient de me croquer toute crue. Mais je voulais faire durer le suspense.

Quelque temps, plus tard, il me suppliait de le laisser me pénétrer car il n’en pouvait plus. Ha oui ; la nuit a été longue.Très tôt le matin, je suis rentrée à la maison. J’ai su qu’il était marié et avait une fille Je l’ai appelé dans l’après-midi pour lui dire que je serais à la maison pour l’attendre à 16 heures. Il n’a pas décroché. Je suis allé quand même puisqu’il avait une servante. Je sonne à la porte pensant avoir affaire à la servante, c’est une jeune dame qui ouvre la porte. Et elle me demande : « vous voulez voir qui ? ».

D’abord j’ai cru que je me suis trompée de porte. Et j’ai répondu, « si c’était ici chez Etienne ». Elle a rétorqué « Oui, mais en ce moment il est au travail. Et je suis sa femme ». Et c’est là j’ai su qu’il était marié et avait une fille que j’ai bien entendu dire” Maman”. Mon cœur a fait un grand saut dans ma poitrine, j’ai cru qu’il allait sortir de mon corps. Je suis retournée à la maison toute déboussolée. La nuit aux environs de 22 heures, je reçois un message d’Etienne : « Tu as voulu passer un moment pour oublier tes peines et bien c’est ce que j’ai fais pour toi. Oublie moi ! ». Mes larmes qui ont commencé a coulé m’ont mise dans un autre état méconnaissable. Cette fois, j’ai pris la résolution de me suicider.

vous pourriez aussi aimer
Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.