Scandale : La fille d’un ancien PM au cœur d’une affaire de mœurs,collecte d’images à caractère p0rn0graphique

La nièce d’un ancien Premier ministre se trouve au cœur d’une affaire de mœurs qui sera jugé au tribunal de Dakar, ce vendredi. Cette jeune lycéenne de 17 ans « vivait une relation amoureuse » suivie avec le directeur de son complexe qui lui avait promis le mariage. Mais la grand-mère de la fille découvrant cette relation va porter plainte contre l’amant de sa petite fille. D.D. le mis en cause, enseignant officiant au lycée John Kennedy devra répondre des faits de pédopornographie, collecte d’images à caractère p¤rn¤graphique, détournement de mineure suivi de vi¤l.

La jeune lycéenne de ses propres aveux « a entretenu à plusieurs reprises des relations s3xuelles avec cette homme, qui lui a promis le mariage« . L’histoire commence avec les soupçons nourris de la grand-mère de la jeune lycéenne à son endroit. En effet, la grand-mère a remarqué que sa petite fille était beaucoup trop accrochée à son téléphone.

Trop curieuse, par une nuit calme, alors que sa petite-fille dormait, elle s’empare du téléphone de la petite pour savoir avec qui la lycéenne entretient une correspondance aussi assidue. Et ces soupçons vont se renforcer. Tandis qu’elle croyait avoir une petite fille encore vi3rge, grande fut la surprise de la grand-mère de découvrir que M.T.T échangeait des messages et des vidéos impudiques avec un homme. Pour confirmer ses soupçons, après cette découverte, la grand-mère emmène sa petite fille au Samu le lendemain pour une consultation. Après examen, le gynécologue conclut que la fille a été «déflorée». Il y a une « défloraison avec lésions nettes avec une raréfaction des vestiges hyménaux ».

C’est sur ces entrefaites, et avec insistance de la grand-mère que Marième finira par révéler qu’elle avait des «rapports s3xuels avec un certain M. Diakhaté ». Suite à ces aveux, la grand-mère cherche à avoir la version du directeur d’école qui niera les faits en bloc. Mais la dame ne lâche pas l’affaire. Dans la foulé, elle saisit le père de sa petite fille qui va porter plainte contre le directeur du complexe de sa fille. Une enquête judiciaire sera ouverte pour tirer l’affaire au clair.

Ainsi, devant les enquêteurs du commissariat central aussi, la mineure est restée constante dans les aveux faits à sa grand-mère. Elle commence sa narration par le début de sa relation avec le sieur D.D qui n’est d’autre que son directeur. «A la fin du mois d’avril 2018, j’étais avec mes copines à l’annexe de notre l’établissement pour acheter à manger. C’est là-bas que notre directeur m’a vue et, m’a demandée après une brève discussion de le retrouver chez lui à Liberté III pour qu’on puisse continuer la discussion. Il m’a tendu deux mille pour mon transport. Une fois chez lui, nous avons un peu discuté et fleurté sans plus. Les rendez-vous chez lui avaient continué et au quatrième jour, nous avons entretenu des rapports s3xuels » raconte-t-elle avec force détail.

La nièce de l’ancien Premier ministre va plus loin en révélant avoir entretenu plusieurs fois des rapports s3xuels avec son directeur car ce denier lui avait promis le mariage. Ce que D.D va nier en racontant une version différente de l’histoire. Selon lui, c’est Marième qui lui aurait harcelé avec des messages textes, vidéos osées. Un jour, explique D.D, «je l’ai convoqué dans mon bureau pour la menacer d’en parler à son papa si elle n’arrêtait pas. Mais elle m’a répondu qu’elle allait se suicider si son père le savait. Interrogé à nouveau, D.D, marié et père de deux enfants persiste et signe «que c’est Marième qui lui envoyait des vidéos sexy de manières abusives pour juste le provoquer« . Et, pour couper court avec Marième, « je lui ai promis le mariage« .

Ainsi, cette affaire de pédopornographie, collecte d’images à caractère p0rnographique, détournement de mineure suivi de v¤l qui dure depuis le mois d’avril passé sera vidée ce vendredi 16 novembre 2016

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